Le jeu se positionne comme une aventure tout public, dans laquelle un chien samouraï tente de sauver un monde peuplé… exclusivement de chats belliqueux.
Retour à Kakamucho, là où les ninjakatts ne dorment jamais
L’histoire reprend après les événements de Paws of Fury: The Legend of Hank. Hank et son mentor Jimbo pensaient pouvoir raccrocher le katana, mais le Shogun de Kakamucho change subitement de camp et lance ses armées de chats à l’assaut des villages de l’île. À la manette, il s’agit donc de défendre les hameaux, protéger les villageois et remonter la piste d’un complot qui menace tout le royaume.
La campagne est jouable en solo sur toutes les plateformes, avec une option coop à deux sur PC, Xbox Series X|S et PS5, histoire de traverser l’aventure en duo, chacun incarnant un héros de l’univers. La version Switch reste centrée sur l’expérience solo, mais profite des trois modes de jeu habituels de la console (portable, salon, table).
Action arcade et “open world” accessible
Samurai Academy: Paws of Fury adopte une vue à la troisième personne et un ton très arcade : on slash, on dash, on déclenche des gadgets et on pose des pièges dans des arènes colorées, sans se heurter à une prise en main punitive. Le jeu vise clairement le créneau “porte d’entrée” vers l’action-aventure, avec :
➤ des combats rythmés mais lisibles,
➤ une exploration “open world” simplifiée de Kakamucho et des villages voisins,
➤ des énigmes et objectifs légers pour varier un peu la boucle de jeu,
➤ une esthétique très dessin animé qui assume le côté wacky.
Entre deux assauts du Shogun, Hank peut se balader dans les différents villages, discuter avec les habitants, accepter des quêtes annexes et débloquer de nouveaux objets ou personnages jouables. L’angle reste résolument familial : PEGI 7, humour bon enfant, et une violence davantage cartoonesque qu’autre chose.
Défendre les villages un par un
Le cœur de la progression passe par la défense de plusieurs zones clés de l’île – les temples et villages de Kakamucho, Dookiehill ou encore Pippishore. Chaque attaque du Shogun envoie un mélange de ninjas, de guerriers suréquipés et d’ennemis spéciaux, parfois dotés de jetpacks, qu’il faut repousser en utilisant :
➤ les compétences de Hank et de ses alliés,
➤ un arsenal de gadgets et d’armes secondaires,
➤ des pièges environnementaux à déclencher au bon moment.
En parallèle, le scénario déroule une campagne assez longue, ponctuée de cinématiques et de personnages issus du film original, afin de garder un fil rouge clair pour les plus jeunes comme pour les adultes qui jouent en famille.
Sortie numérique et édition physique
Côté disponibilité, le jeu est jouable dès aujourd’hui en version numérique sur Steam, PlayStation 5, Xbox Series X|S et Nintendo Switch. Des éditions physiques sont déjà proposées en Europe (notamment sur consoles), tandis qu’une sortie boîte en Amérique du Nord est annoncée “prochainement”, avec précommandes via le site officiel.
A propos des studios
Maximum Entertainment est un éditeur et groupe de divertissement spécialisé dans les productions allant de l’indé au AA, avec plus de 300 titres à son catalogue. Basé en Europe, le groupe s’occupe aussi bien du développement, de l’édition que de la distribution et du transmedia, en s’appuyant sur un réseau de studios partenaires et de licences internationales.
Samurai Academy: Paws of Fury est développé conjointement par ZEROlife Games et Fishing Cactus. Ce dernier, studio belge basé à Mons, s’est fait connaître par une production variée (jeux de réflexion, projets éducatifs, commandes sous licence) et une solide expérience sur PC et consoles. En partenariat avec ZEROlife Games, l’équipe signe ici une aventure d’action “sandbox” qui prolonge l’univers de Paws of Fury dans un format jeu vidéo accessible à tous.