Pensé pour les soirées multijoueur “bordel organisé”, S.E.M.I. vous met dans la peau de patients d’une clinique expérimentale, sommés de s’échapper en abusant de pilules aux effets… très secondaires.
Un hôpital procédural qui se réorganise à chaque run
Le principe : vous traversez des enfilades de pièces truffées de pièges physiques, de murs mouvants, de gravité capricieuse et d’autres “surprises” peu bienveillantes. L’objectif reste simple, sur le papier : sortir vivant de cette clinique spécialisée en chaos coopératif.
➤ La totalité de l’hôpital est désormais générée à la volée : 25 salles uniques sont mélangées à chaque tentative, créant des parcours toujours différents et une sensation d’évasion quasi désespérée mais très rejouable.
S.E.M.I. se joue en ligne jusqu’à quatre, mais un mode solo complet est aussi prévu pour celles et ceux qui préfèrent souffrir en silence
Des pilules, des pouvoirs et des crises hallucinées
Le cœur du gameplay repose sur des pilules expérimentales qui confèrent des capacités temporaires aux patients, avec des effets aussi puissants qu’imprévisibles :
➤ certaines vous transforment en machine de destruction lente et lourde,
➤ d’autres déclenchent une hypervitesse incontrôlable,
➤ d’autres encore poussent les hallucinations au point où la réalité devient difficile à suivre.
Ces pouvoirs s’ajoutent à un arsenal mêlant combat rapproché, physique chaotique et capacités spéciales. Le fameux “Parkinson’s Revolver” a été entièrement revu pour accentuer encore la dimension “sport extrême” de certaines armes.
L’aspect rogue-lite est renforcé par une métaprogession pensée pour les complétionnistes : des éléments à collectionner et à débloquer au fil des runs, histoire de garder un sentiment de progression malgré les défaites répétées.
Une clinique taillée pour le streaming
La campagne de lancement vise clairement le créneau des créateurs de contenu : les développeurs recommandent aux médias et streameurs de concentrer leurs publications entre le 20 et le 23 novembre, période jugée optimale pour l’impact, avec une fenêtre de pertinence qui s’étend jusqu’au 30 novembre.
Le jeu coche d’ailleurs toutes les cases du “bon client” pour Twitch :
➤ chaos coop constant (alliés qui sabotent involontairement — ou pas — vos efforts),
➤ diagnostics de fin de run volontairement cinglants, désormais “plus précis et nettement plus insultants”,
➤ situations imprévisibles dues aux combinaisons de pilules, de pièges et d’événements aléatoires.
Ce que contient cette version Early Access
La nouvelle mouture de S.E.M.I. inclut notamment :
➤ Générateur de niveaux : chaque run assemble les salles en un nouveau parcours
➤ Nouvelles pilules et capacités (certaines aux effets volontairement difficiles à décrire)
➤ Mode solo complet
➤ Métaprogession pour débloquer contenus et objectifs
➤ Système de diagnostic étendu, plus précis et plus mordant
➤ Vendeur de bonbons contre pilules
➤ Durabilité des armes (les flingues souffrent aussi)
➤ Personnalisation intégrale des personnages
➤ Refonte visuelle “champis hallucinogènes à petit budget”
➤ Roue d’émotions pour exprimer panique et autres états d’âme
➤ UX/UI améliorées et chat vocal retravaillé
➤ Nouveaux ennemis, dont un élite particulièrement agressif
➤ Support du coréen, en plus des autres langues déjà prévues