Un héritier assumé de G-Police, en 2684
Présenté comme le successeur spirituel de G-Police, G-Rebels nous projette en 2684, sur une Terre presque entièrement engloutie. Les survivants se sont réfugiés dans d’immenses mégapoles flottantes qui se disputent les derniers ressources naturelles.
On y incarne un pilote d’élite aux commandes d’un “Skyblade”, sorte de chasseur VTOL futuriste chargé de faire régner l’ordre au-dessus de ces cités suspendues. Sur le papier, la promesse est claire : retrouver les patrouilles urbaines, les poursuites à ras des buildings et l’ambiance SF crasseuse qui ont fait la légende du titre de Psygnosis – mais avec un monde ouvert moderne, de la simulation de trafic et un moteur actuel.
Un monde ouvert de 12 000 km² et des mégapoles en lévitation
Le terrain de jeu de G-Rebels s’annonce massif : plus de 12 000 km² de carte, avec des métropoles verticales, des installations industrielles, des avant-postes isolés et des zones de recherche à survoler ou bombarder selon le contrat.
Pour l’Early Access, plusieurs régions seront déjà accessibles :
➤ la mégapole dystopique de Daevos, cœur de l’empire Okktane,
➤ une version futuriste et ravagée de Venise,
➤ deux outposts supplémentaires dans l’archipel d’Atlas, histoire de tester les combats en terrain plus ouvert.
Le monde est animé par une simulation temps réel de “milliers d’aéronefs” qui circulent en permanence autour de vous, histoire de donner l’impression de patrouiller dans un trafic aérien vivant plutôt que dans une carte vide
Un premier aperçu solide pour l’Early Access
Dès son arrivée en Early Access début 2026, G-Rebels ne se contentera pas d’une simple démo étendue. Reakktor promet une version déjà étoffée, avec :
➤ dix missions “hautement scriptées” sélectionnées dans la campagne,
➤ un mélange de missions principales et d’activités annexes (chasses à prime, courses, poursuites policières, nouveaux donneurs de quête),
➤ l’introduction des batailles pour le contrôle d’avant-postes,
➤ des combats contre de gros croiseurs,
➤ des activités de minage et de collecte de ressources pour financer vos upgrades,
➤ une météo dynamique et un cycle jour/nuit complet.
On reste donc sur une structure intermédiaire : suffisamment de contenu pour commencer à explorer l’ADN du jeu (dogfights, monde ouvert, montée en puissance de votre appareil), mais avec une marge claire pour itérer sur les systèmes et ajouter de nouvelles zones pendant la phase d’Early Access.
VR, cockpit intégral et gros matos de sim
La grande nouveauté confirmée pour cette phase d’accès anticipé, c’est l’arrivée d’un mode VR complet sur PC. Développé avec l’aide de Nord XR, ce mode permet de voler en vue cockpit pure, avec une vision à 360° et des contrôles pensés pour la VR.
Côté commandes, G-Rebels couvrira un spectre large :
➤ support complet souris + clavier,
➤ gestion des manettes,
➤ prise en charge “expérimentale” des setups de sim (HOTAS/HOSAS et autres contrôleurs de vol).
Sur moniteur classique, on reste sur un flight sim accessible, centré sur les combats nerveux, les manœuvres serrées entre les gratte-ciel et la gestion de la poussée/du bouclier. En VR, l’objectif est clairement de transformer ces mêmes scènes en expérience de cockpit pure : perception des distances, lecture des trajectoires adverses, vertige en piqué au ras des structures métalliques.
Les deux démos déjà proposées sur Steam et lors des salons (notamment Gamescom) ont servi de laboratoire : retours sur les contrôles, le ressenti des dogfights, la lisibilité du HUD ou encore les performances. Reakktor insiste sur le fait que cette Early Access doit prolonger cette logique : ajuster la physique, le comportement de l’IA, l’équilibrage des missions et l’intégration VR avec les joueurs les plus impliqués.
La date de sortie de la version finale n’est pas encore arrêtée ; côté fiches officielles, G-Rebels reste annoncé sur PC, avec une sortie complète à déterminer après la phase d’accès anticipé.
