Le studio présente son jeu comme un roguelike “bloodpunk” samouraï : un mélange de combats au katana ultra nerveux, de mutations sanguines et de progression à runs successifs, le tout dans un monde où les rituels et les machines industrielles s’entrelacent.
Un roguelike pensé pour enchaîner les runs
Cursed Blood revendique la rejouabilité comme noyau dur de sa boucle de jeu. Chaque tentative repose sur une combinaison de paramètres qui change d’un run à l’autre :
➤ mutations du monde qui modifient les conditions de jeu,
➤ arènes qui évoluent au fil de la progression,
➤ routes de loot variables,
➤ montée en puissance graduelle des ennemis et des défis.
À chaque run réussi ou raté, on débloque de nouveaux katanas, de l’équipement supplémentaire et des améliorations liées aux Sanctuaires, histoire d’alimenter une progression à long terme au-dessus de la simple survie instantanée. L’idée est de proposer une structure roguelike classique, mais portée par une identité très marquée : vitesse, violence assumée et mise en scène cinématographique.
Un katana, beaucoup de sang, et un tempo très agressif
Côté gameplay, Cursed Blood ne cherche pas la demi-mesure : on enchaîne dashs rapides, parades, déflections et attaques tranchantes qui misent sur le timing et la précision. Chaque coup fait voler le sang, nourrit des capacités spéciales et récompense les joueuses et joueurs qui restent en première ligne plutôt que d’attendre prudemment au fond de l’arène. Le sang n’est d’ailleurs pas qu’un élément décoratif, mais une ressource centrale utilisée pour modifier ses aptitudes en plein run, déclencher des attaques spéciales, améliorer les armes et débloquer des progrès permanents, les builds se recomposant ainsi en cours de route plutôt que de se figer dans un menu.
À cela s’ajoute un autre pilier : la coopération. Le jeu se pratique en solo ou jusqu’à quatre, en local comme en ligne, avec une adaptation dynamique à la taille du groupe, la redistribution de l’aggro, des résurrections entre alliés et des combos à plusieurs. Sur le papier, il s’agit autant de survivre que de canaliser un chaos organisé, les runs étant pensés pour laisser place aux improvisations et aux synergies de builds entre coéquipiers.
Si le katana occupe la vedette, l’arsenal ne s’arrête pas là : on peut arracher des armes à feu aux ennemis pour leur rendre aussitôt la politesse à bout portant, lancer des couteaux de jet ou encore utiliser des shurikens électriques capables de lacérer les membres et de nettoyer une zone entière. Les boss, eux, ne restent pas figés dans un pattern unique : les combats évoluent à mesure que l’arène se recouvre de sang, avec de nouveaux comportements et une agressivité accrue en cours d’affrontement, et battre ces adversaires majeurs permet de récupérer des trophées à offrir au Sanctuaire Vermillion pour débloquer de nouveaux chemins et pouvoirs lors des runs suivants. Tout cela s’inscrit dans un monde “bloodpunk” où technologie industrielle et rituels alimentés par le sang se télescopent ; chaque biome promet son lot de secrets, de trésors à haut risque et de défis optionnels qui influencent autant le run du moment que la progression globale du profil de joueur, une identité que la nouvelle bande-annonce met en avant en enchaînant biomes, combats stylisés, mutations, boss et démonstrations de coop avant l’arrivée de l’accès anticipé.
À propos de David Marquardt Studios
David Marquardt Studios est l’équipe en charge de Cursed Blood. Le studio concentre son travail sur des jeux d’action à forte rejouabilité, construits autour de systèmes de combat nerveux et de boucles roguelike où chaque run doit proposer de nouvelles combinaisons de builds et de situations. Cursed Blood incarne cette approche avec son mélange de katana ultra rapide, de coop jusqu’à quatre et de mutations sanguines au cœur du système de progression.